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~~Tigana~~

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12 décembre 2012

Convention des octaves

Pour situer précisément une note dans le registre général, il suffit d’indiquer  à quelle octave elle appartient.

Sur un piano, les notes vont de l’octave -2 à l’octave 7.

Pour donner une hauteur réelle, il suffit de faire suivre le nom de la note par le numéro de son octave.

 

Attention : il existe d’autres conventions de dénominations.

 

 

Française

Do0 à Si0

Do1 à Si1

Do2 à Si2

Do3 à Si3

Do4 à Si4

Do5 à Si5

Do6 à Si6

Helmoltz  *

C' à B’

C à B

 c à b

 c’ à b’

 c’’ à b’’

 c’’’ à b’’’

c’’’’ à b’’’’

Scientifique

C1 à B1

C2 à B2

C3 à B3

C4 à B4

C5 à B5

C6 à B6

C7 à B7

MIDI

24 à 35

36 à 47

48 à 59

60 à 71

72 à 83

84 à 95

96 à 107

 

*Utilisé dans le New Grove Dictionnary

 

Le la3 (note située presque au centre du piano), est le la du diapason repère pour l’accordage et pour l’acoustique.

Au piano, le do3, do du milieu est dit « do de la serrure ». C’est la note de référence par excellence pour la théorie.

 

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12 décembre 2012

Registre, tessiture et ambitus

 

Registre : étendue générale de tous les sons, de l’extrême grave à l’extrême aigu

 

Tessiture : toutes les notes qu’un instrument peut jouer. Pa exemple, le bas de la tessiture de la flûte est dans le registre médium.

 

Ambitus : étendue des notes d’une mélodie, de la note la plus grave à la plus aigüe.

5 décembre 2012

Système de notations des altérations:

Système anglais :

 

Dièse : sharp

Double dièse : double sharp

Bémol : flat           

Double bémol : double flat

Bécarre : natural

 

Système allemand :

 Le système de notation allemand incorpore l’alération au nom de la note par l’ajout de syllabes.

Dièse : nom de la note + is

Double dièse : nom de la note + isis           

Bémol : nom de la note+ es    

Double bémol nom de la note + eses         

Bécarre ne s’incorpore pas et se nomme Auflöser.

 

2 exceptions :

Le la procède pour les bémols par ajout de « s ». lab à as ;  labbà asas

 

Le b désigne le sib alors que le si naturel est désigné par h.

Si bb à heses ; si bà b, si à h, si# à his et si x à hisis.

 

Noms des altérations

Noms composés allemands

 

Français

Anglais

Allemand

Do

Mi

Fa

Sol

La

Si

Double dièse

Double sharp

Doppel kreuz

Cisis

Disis

Eisis

Fisis

Gisis

Aisis

Hisis

Dièse

Sharp

Kreuz

Cis

Dis

Eis

Fis

Gis

Ais

His

Bécarre

Natural

Auflöser

C

D

E

F

G

A

H

Bémol

Flat

Be

Ces

Des

Es

Fes

Ges

As

B

Double bémol

Double flat

Doppel be

Ceses

Deses

Eses

Feses

Geses

Asas

heses

5 décembre 2012

L'enharmonie

 

Une enharmonie est le rapport entre deux notes ayant la même hauteur mais portant des noms différents.  Cela arrive souvent puisqu’il existe 35 noms possibles pour seulement 12 hauteurs distinctes.

 

Le choix de l’altération par le compositeur dépend du contexte musical dans lequel intervient la note :

 

  • Mouvement mélodique ascendant ou descendant
  • Tonalité du morceau
  • Contexte harmonique

 

Attention : en tempérament inégal, 2 notes enharmoniques peuvent présenter une légère différence de hauteur puisque les demi-tons ne sont pas égaux.

5 décembre 2012

Les cinq altérations

 

Les sept notes naturelles peuvent être modifiées par des altérations.

Une altération agit sur le hauteur d’une note naturelle en ajoutant ou ôtant des demi-tons.

 

Demi-ton : Le demi-ton est la plus petite différence entre deux hauteurs de note dans le système musical occidental. On trouve cette différence entre deux notes naturelles : mi fa et si do.Les autres notes naturelles sont séparées par des tons entiers.

 

Do-ré

Ré-mi

mi-fa

Fa-sol

Sol-la

La-si

Si-do

1T

1T

1/2T

1T

1T

1T

1/2T

 

Attention : les demi-tons ne sont égaux que dans le cadre du tempérament égal. Dans ce système, le demi-ton partage l’octave en 12 parties égales.

Ce système s’est lentement généralisé à partir du XVIIIéme siècle.               

 

Il existe cinq types d’altérations : le dièse # et le bémol b ; le double dièse x et le double bémol bb, et le bécarre  (un peu différent puisqu’il sert à annuler l’effet des altérations qui le précède).

 

Le dièse : #

Le dièse ajoute un demi-ton aux notes naturelles, la note devient plus aigüe.

 

Le bémol : b

Le bémol ôte un demi-ton aux notes naturelles, la note devient plus grave.

 

Le bécarre :

Le bécarre annule l’effet d’une altération précédente.

L’effet d’une altération est valable une mesure entière. Si l’on veut que la note redevienne naturelle, il faut lui mettre un bécarre.

On rajoute parfois un bécarre , dit de précaution, pour éclairer une situation où une erreur de lecture semble possible.

 

Le double-dièse : x

Le double-dièse ajoute deux demi-tons à une note naturelle, la note devient plus aiguë.

 

Le double-bémol : bb

 Le double bémol ôte deux demi-tons aux notes naturelles, la note devient plus grave.

 

 

 

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5 décembre 2012

Attention!!!!

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3 décembre 2012

Arnold Schoenberg

3/09/1874  Vienne, naissance d’Arnold Schoenberg. Ainé de 3 enfants.

1882               Son père décède. Il est obligé de quitter le collège à 16 ans pour  travailler.  Il s’engage comme employé de banque. Pour compléter ses revenus, il arrange des chansons populaires et orchestre des opérettes.

1894              Il compose sa première œuvre « 3 pièces pour piano ». Il commence l’étude du contrepoint avec celui qui deviendra son beau-frère Alexander Zemlinsky.

1897-1898   En 1897, Schoenberg écrit son premier quatuor à cordes en Ré M qui sera créé à Vienne en 1898.Il compose également deux mélodies opus 1 !;

1899              Il compose « La nuit transfigurée » d’après un poème de Richard Dehmel. C’est un sextuor à cordes.

1900-1901   Schoenberg est engagé comme chef de plusieurs ensembles vocaux mineurs à vienne, ce qui éveille son intérêt pour la musique vocale. Il se lance dans la composition des « Gurrelieder » (5 voix solistes, 1 récitant, 3 chœurs d’hommes, 1 chœur mixte à huit voix et 1 très grand orchestre )

1901-1903  En 1901, il épouse Mathilde Zemlinsky (avec qui il aura deux enfants). Il s’installe à Berlin où il séjourne jusqu’en 1903. Il rencontre Richard Strauss qui influence l’écriture de « Pelléas et Mélisande » opus 5.

1903           Schoenberg enseigne l’harmonie et le contrepoint à Vienne ( ses élèves : Alban Berg et Anton Webern avec qui il formera le seconde école de Vienne ). Il rencontre Mahler à qui il vouera une admiration inéfectible.

1903-1908 Schoenberg signe ses dernières œuvres tonales avec l’opus 7 et l’opus 9. Il compose une nouvelle méthode de composition l’Atonalisme libre

1908            Schoenberg compose son Quatuor à cordes numéro 2 dernière œuvre à laquelle il donne une armature de clé définie.

1909            Le pas vers l’atonalité est franchi avec sa « Pièce pour piano » opus 11 numéro 1 ( aucune référence à la tonalité)

1911         Schoenberg achève son traité d’harmonie dédié à la mémoire de Mahler (décédé en 1911, cette même année). Il retourne s’installer  berlin où il rencontre Ferrucio Busoni (défenseur de la musique nouvelle) avec qui il a de bons rapports. Mais c’est avec Kandinsky qu’il échangera une longue et précieuse correspondance (de 1911 à 1936). Il est nommé professeur au conservatoire Stern de Berlin grâce à Richard Strauss.

1912          Schoenberg compose « Pierrot Lunaire » (œuvre pour voix parlée, piano, flûte, clarinette, violon, violoncelle). L’œuvre a été créée le 16 octobre 1912 et provoque de violentes critiques.

1913-1920 En 1913 Schoenberg écrit « La main heureuse » et les 4 lieders avec orchestre opus 22 (1913-1916). Les années suivantes, il consacre son temps à la transcription de ses œuvres (première transcription pour orchestre à cordes de la « Nuit transfigurée » 1917) et à la Société Musicale des Exécutions privées, qu’il fonde en 1918. Il réfléchit sur la future composition à 12 sons et développe une profonde pensée religieuse (ex : « L’échelle de Jacob » « Moïse et Aaron » « Kol Nidrei » )

1920       Il adopte la technique sérielle dodécaphonisme.

1923       Sa femme meurt. Il se remarie l’année suivante avec Gertrud Kolisch.

1933        Il se convertit au judaïsme à Paris puis s’exile aux USA. Jusqu’à la fin, il aura une relation féconde mais conflictuelle parfois avec Alma Mahler-Werfel, Thomas Mann, Berthold Brecht, Hans Eisler et Theodor  Adorno).

Quand à Igor Stravinsky, ils auront une relation de respect mutuel par l’intermédiaire du chef d’orchestre et secrétaire de Stravinsky Robert Craft.

Trop fatigué par de lourds et fréquents problèmes de santé, Schoenberg ne peut se rendre en 1949 à darmstadt où commence à s’élaborer la ostérité du courant qu’il avait lui-même porté si haut. Il meurt le 13 juillet 1951 à Los Angeles. Conscient d’avoir opéré une rupture musicale avec le passé, Schoenberg savait provoquer son auditoire, par la musique comme par la parole : «  Ma musique n’est pas moderne, elle est mal jouée ».

 

Son Œuvre :

4 périodes :

Œuvre de jeunesse :  elles sont dominées par l’influence de Mahler et R.Strauss et au-delà par celle de R.Wagner, elles sont incontestablement post romantique (« Nuit transfigurée » « Pelléas et Mélisande » et les « gurrelieder »). La personnalité de Schoenberg s’y exprime dans sa volonté d’aller au bout des fantasmes romantiques. Par exemple, l’ampleur colossale des « Gurrelieder » imite le gigantisme mahlérien de a symphonie des Milles.

 Deuxième période (1907) atonalisme libre : Schoenberg fait preuve de la plus grande créativité durant cette période. Il est entraîné par la dynamique. Des œuvres très dissemblables sont élaborées (« Pierrot lunaire » « Symphonie de chambre »). Pendant cette période se produit pour la première fois , dans les dernières pages du deuxième  quatuor à cordes la suspension des fonctions tonales. Bien que Schoenberg reste fidèle aux formes classiques, il pousse très loin le principe de non-répétition des motifs et tend ainsi à une variation continue.

Troisième période : Mise en œuvre du système sériel. Le systéme sériel organise le « chaos général » né des œuvres précédentes. A la hiérarchie des degrés, base du système tonal, il substitue l’égaité des douze sons chromatiques dont la succession est déterminée par un ordre, une série que choisit le compositeur. Schoenberg ne s’aperçoit pas que la nouvelle syntaxe devrait engendrer une nouvelle rythmique et déboucher vers de nouvelles formes. Très traditionnaliste, ce grand novateur continue de penser en fonction de modèles établis. Les variations opus 31 ont pour sujet le nom de Bach. La série devrait mener à l’athématisme (Webern) mais Schoenberg en fait un ultrathème.

Quatrième période (californienne) :  Tentative e retour aux structures tonales. Sans renier le principe de l’écriture sérielle, Schoenberg essaie de l’intégrer à une dialectique de type tonal. Schoenberg vieillissant veut parachever l’édifice de la musique tonale qu’il a lui-même détruit.

 

Compositeur et pédagogue, il est le chef et l’initiateur de la seconde école de Vienne. Sa vie a été marquée par de nombreux paradoxes. Presque autodidacte, il fut un grand technicien de l’écriture musicale. Musicien maudit, il connut la célébrité. Respectueux du passé, il mit en pièces le système tonal. Il évolua plus rapidement, peut-être, qu’aucun autre musicien mais ses dernières œuvres s’efforcèrent de retrouver les premières .Quelques leçons de violon et de contrepoint seront son seul bagage académique. Il s’impose cependant par l’étude des partitions une solide formation musicale (« La nuit transfigurée » à technique d’écriture très sûre).

L’austérité de Schoenberg, sa vision très élevée, très exigeante de l’art musical, ont créé autour de son œuvre une légende d’inaccessibilité que les années n’ont pas effacée.  Certes, le Schoenberg postromantique a trouvé grâce aujourd’hui auprès du public, mais le Schoenberg atonal est réputé difficile et le Schoenberg sériel presque incompréhensible. Certains commentateurs avancent que Schoenberg n’a été que l’initiateur du mouvement et que Berg et Webern l’ont dépassé dans la réalisation de ses propres idées. D’autres soutiennent au contraire que Schoenberg a dominé son époque et qu’il ne lui manque encore, pour être pleinement reconnu que d’être pleinement compris.

 

A retenir :

Atonalisme libre à négation du système tonal. Tous les degrés de l’échelle chromatique sont équivalents : plus de note polaire.

Dodécaphonisme àtechnique trouvée et exploitée par Schoenberg en 1923. Pas synonyme de sérialisme ni d’atonalité . Enoncé des douze sons de la gamme chromatique.

 

Variations opus 31 :

En 1927, il se sent assez sûr du bien-fondé de sa technique (série à Berg et Webern l’ayant utilisé avec succès) pour entreprendre une œuvre destiné au grand orchestre qu’il avait abandonné depuis 1909. Ce sont les variations qui dominent cette période de reconstruction. Elles sont basées sur le nom de Bach.

Elles seront créées le 02 décembre 1928 sous la direction de Wilhelm Furtwängler. 

3 décembre 2012

Les sept notes

 

1 : Hauteurs déterminées er indéterminées :

Quand on joue de la musique, on produit des vibrations.

 Les sons produit par une batteire sont parfaits pour le rythme, mais en revanche, la hauteur de ces sons n’est pas aisément identifiable (on peut les imiter avec des onomatopées mais on ne peut pas les chanter).

La batterie est donc un instrument à hauteurs indéterminées.

 

Pour jouer une mélodie, on doit utiliser un instrument à hauteurs déterminées (piano, guitare violon…)

 

2.L’aigu et le grave :

 Les hauteurs de sons, déterminées ou indéterminées, peuvent se classer  par rapport aux autres en plus ou moins aigues ou graves.

 Du point de vue de la physique, la hauteur d’un son correspond à un certain nombre de vibrations par seconde appelé la fréquence. Elle s’exprime en Hertz  (1 Herzt = 1 vibration par seconde). Plus ce nombre est élevé plus le son est aigu.

Notre oreille perçoit les sons entre 20 hz et 20000hz. Les sons plus graves se nomment infrasons et les sons plus aigus ultrasons.

 

3. La justesse :

Remarquer les écarts de justesse, c’est comparer mentalement la hauteur des notes que l’on entend avec celles des notes juste imaginées.

 Attention: à certaines époques et pour la plupart des instruments du monde,  les systèmes d’accord sont différents de celui de la musique classique et peuvent donner l’impression d’être faux. Il ne faut donc employer ce terme qu’avec précaution.

 

4. Accorder l’instrument :

Certains instruments doivent être accordés à chaque fois avant de jouer (violon, harpe…) alors que d’autres nécessitent un accordage moins fréquent (piano).

 Le cas de l’orgue est particulier : il peut s’écouler plusieurs siècles avant un réaccord (opération complexe et très couteuse).

 Enfin, certains instruments ne sont accordés que lors de leur fabrication (harmonica, cloche…).

 L’accord d’un instrument est plus ou moins difficile et peut nécessiter l’intervention d’un professionnel.c

On utilise généralement un diapason qui donne un son de référence (souvent le la3) à sonorité du téléphone fixe. Ou bien on utilise un accordeur électronique.

 Attention : Dans une même époque, des accords et des diapasons différents ont coexisté,. Ex : JS Bach obligé de transposer ses cantates car l’orgue de Leipzig était accordé différemment de celui de Cöthen.

 

5. Nombre de notes :

 L’ensemble des hauteurs de sons semble presque infini. Combien existe-t-il vraiment de notes différentes ?

 Certaines notes ont des hauteurs que sonnent de manière si apparentée qu’elles portent le même nom. Ce sont les notes en rapport d’octave.

 Visualisée sur un clavier, une octave contient douze touches ( 7 blanches + 5 noires) . Comme toutes les octaves sont formées à l’identique, on pourrait utiliser 12 noms de notes.

 En réalité, le système est plus simple : seulement 7 noms de notes. Mais il existe aussi 5 types d’altérations ce qui fait en fait 35 noms possibles, beaucoup plus que les 12 prévus !

 Un même son peut porter des noms différents.

 

Une octave au piano :

 7  touches blanches : sept notes naturelles , noms de notes simple : do ré mi ..

 5  touches noires : notes altérées , leur nom nécessitent des combinaisons nom simple + altération ( do#, mib…)

 

Attention : les touches blanches peuvent aussi être désignées par des noms combinés (si #) dans ce cas, elles deviennent des notes altérées.

 

6. Nom des notes :

Système français et italien :

Du grave à l’aigu : do ré mi fa sol la si do

 Cette série se poursuit de façon infinie.

Il existe un synonyme de do : ut.

 Système anglais :

           Du grave à l’aigu : a b c d e f g

Le a correspond au la du système français.

Le système anglais est très utile à connaître car il est utilisé en jazz pour noter les accords.

 Système allemand :

Du grave à l’aigu : a h c d e f g.

Le h peut surprendre mais le b existe aussi ( autre signification). Historiqueent, le h représente le si allemand provient d’une déformation de la lettre b.

 

Les 3 systèmes :

 

Français

Do

Mi

Fa

Sol

La

Si

Anglais

C

D

E

F

G

A

B

Allemand

C

D

E

F

G

A

H

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3 décembre 2012

Le son

 

Le son est la matière première de la musique. 

Il existe cinq façons de définir un son:

1. La hauteur: un son est plus ou moins aigu ou grave; Elle dépend d'un nombre de vibrations par seconde appelé fréquence.

2. La durée: Le temps de résonance et d'entretien d'un son. 

3. L'intensité: la force, le volume d'un son

4. Le timbre: c'est une notion plus difficile à appréhender. C'est la "couleur" d'un son. En fonction de l'instrument qui la joue, une note sera différente. La même note jouée par un violon ou une trompette sera complètement différente.

5. L'espace: nouvelle composante dû aux évolutions technologiques. On peut manipuler un son dans l'espace, le déplacer, le faire tourner autour du public à différentes vitesses...

3 décembre 2012

Les différentes manières d’étudier la musique

 

Il existe beaucoup de chemins pour découvrir la musique.

Bien sûr, il y a la pratique d'un instrument ou du chant, il y a aussi l'écoute tout simplement.

Mais il y a la musicologie également, avec ses nombreuses disciplines: l'histoire de la musique (étude de l'évolution du langage musical dans un époque et un style donné), l'analyse musicale (observation de la construction des oeuvres), l'ethnomusicologie (étude des musiques et instruments du monde) et enfin l'esthétique musical (replace les oeuvres au sein des principales problématiques artistiques.).

Il y a l'écriture musicale, avec l'orchestration, l'improvisation, la composition.

Et enfin, les disciplines scientifiques de la musique: l'acoustique (définition physique du son), la psychoacoustique (détermine les vibrations qui sont importantes pour l'oreille humaine et en déduit des hypothèse scientifiques et artistiques), l'organologie (étude des instruments de leur histoire et de leur fabriquation) et la sociologie de la musique (traite de la musique au sein des autres pratiques humaines).

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